Dans un site protégé, Psmv, Mh, Unesco, il s’agissait de venir glisser un couloir de nage sur les remblais occupants le sol de la nef de l’ancienne cathédrale, contre un rempart des guerres de religion.
La chose semblait impossible
En travaillant en lien avec le SRA et l’ABF, l’analyse archéologique a démontré la possibilité de suspendre le bassin sur des terres de remblais XIXe d’une profondeur suffisante pour ne pas toucher les parties historiques. Le calepin de planche des banches joue avec la pierre et le béton projeté sur canisse.
La distance avec les parties historiques et l’invisibilité de l’ensemble depuis les espaces publics et privés, par des masques de remparts et de murs, aura permis ce bassin dans un jardin caché.
Une pergola doit compléter la composition.
Équipe :
AARP architecte du patrimoine (mandataire) ; Marion Sartre (architecte du patrimoine mission intérieurs); Valérie Rousset (archéologue du bâti) ; Serge Trentaz béton banché ; Olivier Noury (Diffazur) ; Adrien Villas (Univers Pierres).
Type de mission :
mission complète